Après 3 années de négociation pour revisiter le titre II de la convention collective des Ateliers et Chantiers d’Insertion portant sur le droit syndical, c’est une opposition majoritaire (CGT, Solidaires, FO) qui a clos les débats.
Dès l’ouverture des négociations, le but des organisations syndicales était de gagner des avancées significatives et nécessaires relatives à la liberté syndicale, à la démocratie sociale, au droit syndical et aux institutions représentatives du personnel (CSE).
La proposition patronale pouvait se résumer à l’utilisation d’un chèque syndical pour un remboursement forfaitaire aux structures des absences pour raisons syndicales (forfait augmenté d’ailleurs dans le cade de cet avenant), et, entre autres, à faire payer, la participation des mandatés aux groupes de travail paritaires via ce chèque syndical
Les organisations syndicales sollicitent du droit conventionnel et du temps pour les élus et mandatés, du temps pour préparer les négociations paritaires, et pour pouvoir se rendre aux informations syndicales, etc.
Ce droit d’opposition est une première dans la branche des ACI. C’est un front uni CGT, FO et Solidaires qui a souhaité de nouveaux droits pour les syndiqués qui souhaitent s’engager et obtenir enfin des moyens dignes des salariés de la Branche ACI.
La proposition patronale pouvait se résumer à l’utilisation d’un chèque syndical pour un remboursement forfaitaire aux structures des absences pour raisons syndicales (forfait augmenté d’ailleurs dans le cade de cet avenant), et, entre autres, à faire payer, la participation des mandatés aux groupes de travail paritaires via ce chèque syndical