Voilà ce que nous promet Macron…Après

Notre santé vendue au privé, Notre mort objet de spéculation, Voilà ce que nous promet Macron…Après
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Pâques au balcon, Perfidie Macron !

Alors que, chaque soir à 20 heures, la population est à sa fenêtre et s’apprête à passer Pâques au balcon pour apporter son soutien aux soignants, Alors que la pénurie de matériel, de médicaments, ou de tests est évidente et désormais connue de tous : Macron et ses sbires avancent dans l’ombre de nos encouragements.

Le jour d’après est déjà préparé par Macron et la finance !

Dans l’ombre, donc,  l’Élysée, forte de son incurie à traiter la crise sanitaire dont les conséquences dramatiques sont davantage dues à la politique austéritaire en matière de santé et de protection sociale que de pénurie organisée de matériel de protection, de dépistage ou de soins, Dans l’ombre, Macron avance ses pions pour le jour d’après le confinement : rapport demandé à la Caisse des Dépôts et apparition au grand jour des «Pandemic Bonds».

L’Amérique est un cauchemar, Macron en rêve : la Caisse des Dépôts au chevet de la santé !

Commandé par Macron, le rapport de la CDD arrive avec ses premières propositions «postcovid-19» :

  • La «santé numérique» et les téléconsultations vont devenir la norme 
  • La responsabilisation des patients, notamment ceux en Affection Longue Durée, va être la règle, les malades seront pointés du doigt comme le sont déjà les privés d’emploi
  • Nouvelles règles de financement fondées sur l’«efficience» ! 
  • Financements des hôpitaux via des «PPP» (Partenariats Public-Privé) 
  • Créations d’hôtels hospitaliers pour « déversement » de patients en cas de surchauffe d’activité ! 
  • Création de «Navires hôpitaux» !? . Solutions numériques pour les maladies psychiques 
  • Mise en place de CIS ( Contrats à Impact Social) et de Fonds de dettes 
  • Privatisation de la Médecine de Ville 
  • Développement de la e-santé

« Pandemic Bonds » ou CIS :
Quand la finance parie sur la précarité, la pandémie ou notre mort

Nous entrons depuis quelques années dans une nouvelle ère. La finance est le virus, Macron est le poison. Tout est gangréné, tout doit rapporter, tout doit profiter aux investisseurs-tueurs :

  • Les «Fonds de dettes», cachent des Fonds Vautours, qui n’ont pour but que de se payer sur le rachat de la dette d’entreprises (ici ce seront les hôpitaux gérés par la mutualité par exemple), pour mieux les racheter et les restructurer.
  • Les «Pandemic Bonds» lancés par la Banque Mondiale (!) en 2017 après l’épidémie Ebola de 2014. 

Tant qu’il n’y a pas de pandémies, les investisseurs ramassent le pactole avec un taux de rendement très élevé (jusqu’à 14%).

S’il y a pandémie, alors ils doivent verser de l’argent à la Banque Mondiale pour en financer la lutte. Mais d’après vous, qui définit s’il y a épidémie ? Eh bien c’est … La Banque Mondiale (pourquoi n’est-ce pas l’Organisation Mondiale de la Santé ?), avec des critères morbides au possible visant à éviter le versement du fric pour lutter contre la pandémie. Autant dire, qu’aucun fonds n’a été débloqué pour Ebola, qui est toujours en cours. La Banque Mondiale est conseillée par AIR Worldwide Corp, entreprise spécialisée en modélisation des risques, dont les clients sont notamment les compagnies d’assurance ou les gouvernements, ben voyons.

 

Chassons la finance de nos vies, éradiquons-là !

Vive la Sécurité sociale, Vive le 100% sécu !

Groupons-nous pour demain !

En téléchargement…